Après un parcours migratoire souvent compliqué, l’accès à l’enseignement supérieur reste encore très limité pour les personnes exilées.
Barrière de la langue, démarches administratives complexes et manque d’informations sont les freins que Sillat souhaite lever pour permettre aux personnes migrantes de débuter ou reprendre les études.
Pendant six mois, dès l’ouverture des plateformes d’inscriptions universitaires, réalisez une fois par semaine un diagnostic de la situation de chaque personne en demande d’asile ou réfugiée, puis accompagnez-la pour qu’elle puisse (re)trouver le chemin des universités.
